Certain·es AESH ont eu la mauvaise surprise de découvrir que leur salaire n'avait pas été versé. La FSU et le SNUipp sont intervenus.
AESH / ASN (ambrougerien.ezed ar skolidi nammet) n’int ket gopred : emell an FSU
Déjà précaires et mal payé·es, les AESH, parent·es pauvre de l’éducation nationale ont subit une nouvelle maltraitance avec le retard de la mise en paiement du salaire d’une partie d’entre elles.
La FSU-SNUipp et sa fédération, la FSU, ont interpelé le rectorat qui nous a, au départ, annoncé une "avance" (sur salaire en retard, quelle ironie) versée autour du 15 octobre. INACCEPTABLE.
La FSU-SNUipp de Bretagne a décidé de rendre publique la situation par le biais d’un communiqué de presse.
Sous la pression, le rectorat a évolué sur sa proposition, cherchant une solution pour débloquer les salaires plus rapidement. Un virement est parti aujourd’hui mais ne sera effectif que le 11 octobre. Nous essayons de faire encore réduire ce délais. En attendant, il faut que les collègues concerné·es contactent la DIPATE pour avoir une attestation à fournir à leur banque.
Une fois de plus, c’est bien le fait d’avoir rongé à l’os les services administratifs qui est responsable de la situation. Trop peu nombreux pour gérer le nombre des nouveaux contrats, le personnel des services dédiés n’arrive pas à absorber la quantité de travail liée à la gestion des contrats AESH en début d’année scolaire.