La FSU et plus de 80 organisations (syndicats, associations, collectifs et organisations politiques) appellent à se mobiliser suite au meutre de Nahel la semaine passée. Si elles considèrent que “l’escalade des violences est une impasse et doivent cesser”, elles réaffirment collectivement leur attachement aux libertés publiques et déclarent solennellement qu’un “apaisement durable n’est possible que si le gouvernement prend les mesures nécessaires pour répondre à l’urgence de la situation et aux exigences des populations concernées.”